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Une affaire de trafic d’êtres humains remise faute d’interprètes à Bruxelles

Mardi après-midi, la situation s’est encore compliquée lorsque les services de sécurité ont sollicité que les prévenus détenus soient séparés.

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La 60e chambre du tribunal correctionnel de Bruxelles, néerlandophone, a reporté, mardi après-midi, un dossier de traite des êtres humains étant donné qu’il n’y avait pas assez d’interprètes. Il concerne une bande de trafiquants qui aurait acheminé quelque 150 réfugiés au Royaume-Uni, entre juillet et novembre 2015.

Recours au système D

Plus tôt dans la journée, l’Union professionnelle des Traducteurs et Interprètes assermentés (UPTIA) avait prévenu, via un communiqué envoyé à la presse, de certains problèmes de traduction dans ce procès. Selon l’UPTIA, par manque d’interprètes néérlandais-arabe, le parquet avait fait appel à un interprète français-arabe et à un autre pour traduire ensuite du français vers le néerlandais.

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