À Budapest, un élan de solidarité à la gare
Les policiers forment un barrage efficace. Jusqu’à la dernière minute, il est impossible pour les centaines de migrants qui attendent le train de 17h10 dans la gare Keleti de Budapest d’entrer dans un wagon. Mais dès que le signal est donné, ça se bouscule. Vu la longueur de la file et la taille du train, les réfugiés craignent de ne pas pouvoir monter à bord… Une crainte vite évaporée. Tout le monde a bien trouvé une place.
Ce dimanche, les autorités hongroises ont privilégié les trains pour permettre aux réfugiés de poursuivre leur route en Europe. La veille, des bus avaient emmené jusqu’à la frontière autrichienne les migrants qui, mécontents de la suppression des liaisons vers l’ouest de l’Europe, s’étaient mis à marcher vers l’Autriche (le même scénario s’était déroulé vendredi).

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