Rainbow Warrior: quand la raison d’Etat ne passe pas…
Trente ans après le drame, bourrelé de remords, le nageur de combat de la DGSE qui posa la charge explosive sur le Rainbow Warrior a présenté ses excuses.


Ce n’est pas tous les jours qu’un colonel des services français vient présenter ses excuses, face caméra, pour une opération qui a mal tourné. D’abord, la Direction Générale de la Sécurité Extérieure (la fameuse DGSE) n’est pas connue pour pratiquer la « glasnost ». Ensuite parce que la devise de la maison, « Partout où nécessité fait loi », sonne comme une lettre d’indulgence en blanc. Mais voilà, avant d’être un barbouze, Jean-Luc Kister est un être humain, rongé par le remords d’avoir provoqué la mort du photographe Fernando Pereira, il y a un peu plus de trente ans, sur le pont éventré du Rainbow Warrior.
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