Accueil La Une Monde

Rainbow Warrior: quand la raison d’Etat ne passe pas…

Trente ans après le drame, bourrelé de remords, le nageur de combat de la DGSE qui posa la charge explosive sur le Rainbow Warrior a présenté ses excuses.

Article réservé aux abonnés
Chef du service Forum Temps de lecture: 3 min

Ce n’est pas tous les jours qu’un colonel des services français vient présenter ses excuses, face caméra, pour une opération qui a mal tourné. D’abord, la Direction Générale de la Sécurité Extérieure (la fameuse DGSE) n’est pas connue pour pratiquer la « glasnost ». Ensuite parce que la devise de la maison, « Partout où nécessité fait loi », sonne comme une lettre d’indulgence en blanc. Mais voilà, avant d’être un barbouze, Jean-Luc Kister est un être humain, rongé par le remords d’avoir provoqué la mort du photographe Fernando Pereira, il y a un peu plus de trente ans, sur le pont éventré du Rainbow Warrior.

Cet article est réservé aux abonnés

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)

Avec cette offre, profitez de :
  • L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction
  • Le journal en version numérique
  • Un confort de lecture avec publicité limitée

Le fil info

La Une Tous

Voir tout le Fil info

0 Commentaire

Aussi en Monde

Voir plus d'articles

Le meilleur de l’actu

Inscrivez-vous aux newsletters

Je m'inscris

À la Une

références Voir les articles de références références Tous les jobs