Survol de Bruxelles: François Bellot à la manœuvre
Le monde économique, via le patronat flamand, réclame des avancées dans le survol de Bruxelles.
Invalid Scald ID.

Pas de répit dans le dossier du survol de Bruxelles ! Alors qu’au printemps dernier, le gouvernement bruxellois annonçait sa décision d’aller en justice contre le fédéral, la pression est loin de redescendre à l’approche de l’automne. La rentrée est l’occasion, pour certains, de remettre ce dossier délicat au cœur des préoccupations.
L’appel à l’action vient, cette fois-ci, du nord du pays. A l’occasion de la reprise des activités du Voka, l’organisation des patrons flamands, son président Paul Kumpen a appelé le ministre-président Geert Bourgeois (N-VA) à sortir le dossier de l’impasse. « Des milliers d’emplois sont en jeu, a-t-il déclaré. L’aéroport crée 60.000 emplois directs et indirects. Après le port d’Anvers, c’est le plus grand moteur économique de notre pays. » Il a rappelé que Brussels Airport avait une valeur ajoutée de 3,2 milliards d’euros et avait enregistré un nombre record de visiteurs en 2015.

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous abonner.
S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir3 Commentaires
Et si on fermait Zaventem ? Bruxelles est à 1h15 de Paris (Air France utilise d'ailleurs le thalys plutôt que l'avion pour ses liaisons), 3 heures de Francfort, 2 heures de Londres, moins de deux heures de schipol. Mettons tous ces gens dans des trains et fini les nuisances !
Et, accessoirement, on en profite pour construire une voie TGV qui suit la E42 avec arrêt à Gosselies et Bierset pour mettre ces deux aéroports dans le circuit... Histoire de satisfaire la Flandre, on peut aussi faire une voie Calais-Ostende-Anvers
C'est l'éternel combat entre la quantité et la qualité? Que veut-on? Un monde où il fait bon vivre ou un monde où l'argent excuse les nuisances de toutes sortes? A quoi sert-il de gagner beaucoup si c'est pour mal vivre?La vie est si courte, faut-il en plus la rendre "invivable"?