Wesphael: «Si l’amant nous avait foutu la paix, Véronique serait vivante»
Le procès de l’ex-député wallon a débuté ce lundi matin.

Le procès de Bernard Wesphael est lancé. Ce lundi matin, l’audience a commencé par la lecture des 45 pages de l’acte d’accusation, avant que l’avocat de l’accusé ne prenne la parole en fin de matinée.
La séance a repris l’après-midi avec les premières déclarations de l’accusé Bernard Wesphael. L’accusé a décrit sa rencontre avec la victime : « J’ai connu Véronique Pirotton lorsqu’elle était journaliste à la télé RTC Liège ». « Avec Véronique Pirotton, ce fut un coup de foudre mutuel », a-t-il poursuivi. Il reconnaît : « Nous continuions vaille que vaille. La situation se dégradait. »
En cause, selon l’accusé, la présence embarrassante de l’amant de Véronique Pirotton. Bernard Wesphael lâche à la barre : « Si ce Monsieur nous fout la paix, Véronique serait encore vivante aujourd’hui ».

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