Procès Wesphael: l’étrange consigne de Véronique Pirotton au réceptionniste du Mondo
L’état d’esprit de la jeune femme lors de son bref séjour à la mer reste un mystère que le long exposé des enquêteurs, ce mardi, n’a guère éclairci. Elle avait laissé une consigne au réceptionniste. Sibylline, comme son attitude l’aura été jusqu’au bout.

Quel est l’état d’esprit de Véronique Pirotton lorsqu’elle arrive à Ostende, ce 30 octobre 2013 ? Est-elle, déjà, occupée à mettre à distance un mari qu’elle aurait résolu de quitter pour de bon, comme le suggèrent la lettre qu’elle a laissée, avant son départ, à son fils Victor, et la conversation téléphonique qu’elle a, ce jour-là, avec son amant Oswald D. – « J’ai l’impression qu’il n’y a plus de retour possible, qu’il n’est plus possible de faire marche arrière, donc je suis contente, voilà, c’est tout », déclare-t-elle dans cet échange que l’intriguant Oswald a enregistré.
Dans le train, elle a potassé ses extraits bancaires comme une femme qui, à la veille d’une échéance cruciale, doit bien se résoudre, oui, à ces comptes prosaïques de boutiquier.

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