ONU: l’adieu d’un Obama inquiet pour la suite
La litanie des discours a commencé ce mardi à l’Assemblée générale de l’ONU à New York. Le président des Etats-Unis, en toute fin de mandat, invite à un sursaut des démocrates face aux fondamentalistes, populistes et autres bâtisseurs de murs.


Deux hommes ont fait leurs adieux en « mondovision », à New York mardi, devant l’Assemblée générale de l’ONU : le président des Etats-Unis et le secrétaire général des Nations unies. Le second, Ban Ki-moon, a livré un discours sans concession sur l’état du monde – pitoyable. Barack Obama, aussi, a tiré la sonnette d’alarme : les valeurs éclairées de la démocratie, que l’on dit universelles, devraient être défendues avec plus de vigueur, au risque sinon de « reculer » : elles sont contestées par l’inquiétante montée des fondamentalismes, des radicalismes et des populismes. Mais le président sortant a tout autant prononcé un long plaidoyer pro domo, exposant les « progrès » enregistrés au cours des huit ans d’occupation de la Maison-Blanche… Des propos qui ont souvent sonné comme des charges implicites contre le candidat républicain Donald Trump !

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