6 mois après les attentats de Bruxelles: «C’est ancré en moi, comme marqué au fer rouge»
Le 22 mars, Dominique Denoël était à quatre, cinq mètres du kamikaze lorsque la bombe a explosé dans le métro, à Maelbeek. Six mois plus tard, il va bien : cet hyper actif a décidé de prendre une année sabbatique pour lancer tous ces projets qu’il gardait dans un coin de sa tête pour « plus tard ». Dynamique, engagé, l’homme demeure malgré tout marqué dans sa chair.
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I l y a toujours ce gant de très mauvais goût que je suis obligé de porter. Dominique désigne sa main gauche. C’est un rappel permanent. On ne reste pas très longtemps sans avoir ses mains dans son champ de vision… » Quand l’explosion a soufflé le métro à la station Maelbeek, le 22 mars 2016, Dominique Denoël était à « quatre ou cinq mètres » de la déflagration. Il s’est très probablement protégé le visage avec sa main gauche. Sa main droite, elle, n’a pas de séquelles. « J’ai aussi fermé les yeux si fort, pour me protéger, que j’avais des bleus autour des paupières. »

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