Le film du jour à la Mostra: «11 minutes» de Jerzy Skolimowski
Du grand Skolimowski.


Le pitch : Un mari jaloux qui perd pied, sa femme actrice sexy, un sordide réalisateur hollywoodien, un messager drogué, une jeune femme désorientée, un ex-tôlard devenu vendeur de hot-dog, un étudiant dérangé avec une mission mystérieuse, un nettoyeur de vitres, un vieux dessinateur, des ambulanciers, des religieuses qui ont faim. Tous vivent dans un monde où quelque chose peut se passer à tout moment. 11 destins. 11 minutes. Un enchaînement inattendu d’événements.
Mon avis : Une histoire parmi d’autres. Des destins apparemment sans aucun point commun mais qui apparaissent être finalement liés. Une musique lancinante, puissante. Si le procédé n’est pas original, Jerzy Skolimowski réalise cet ensemble d’une main de maître, allant à l’essentiel. Le tout se termine par une scène grandiose, qu’on pourrait presque qualifier d’apothéose, filmée de manière surprenante et prenante. « Wow ! »

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