Leonardo Garcia Alarcón: «Cavalli a un rôle capital dans l’évolution de l’opéra vénitien»
Evénement ! Des musiciens belges occupent la scène et la fosse du Palais Garnier. Leonardo García Alarcón Alarcón et le Centre d’art vocal et musique ancienne y révèlent « Eliogabalo », le libidineux chef-d’œuvre de Francesco Cavalli. Et le résultat est un triomphe musical.

Depuis le 19 septembre, Leonardo García Alarcón dirige le Chœur de chambre de Namur et la Cappella Mediterranea à l’Opéra de Paris. Un événement pour ces ensembles qui, pour lui, va de soi. « C’est avec eux que j’ai entrepris un long voyage au travers du premier monde baroque. » Il était donc tout naturel qu’ils soient autour de lui pour le couronnement que représentent les représentations d’Eliogabalo à l’Opéra de Paris. Il nous explique le pourquoi et le comment du triomphe de Cavalli, son compositeur fétiche.

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