Voici pourquoi le succès d’Anderlecht au Standard ne donne pas raison aux statistiques
Surprise à Sclessin : le Sporting Anderlecht a enfin trouvé le succès dans le chaudron de Sclessin, pour la première fois depuis 2012.

Ce n’était plus arrivé depuis février 2012 : Ariël Jacobs avait alors mené ses troupes à une victoire de prestige à Sclessin (1-2). Depuis lors, plus aucun coach d’Anderlecht n’était parvenu à trouver le succès en bord de Meuse. Jusqu’à René Weiler : l’entraîneur suisse a trouvé la faille dans le système liégeois pour s’imposer par le plus petit écart (0-1) devant le public rouche. Rien que cette statistique confirme le caractère exceptionnel de ce succès bruxellois à Sclessin.
Et pourtant, le Standard semblait avoir la main-mise sur cette rencontre. Avec 55 % de possession de balle et près de 85 % de passes réussies (contre 82 % pour Anderlecht), les joueurs liégeois semblaient avoir le contrôle du ballon pour prendre les devants. Les Rouches ont même bénéficié de neuf corners, confirmant leurs nombreuses montées dans le rectangle adverse. Mais cela n’a pas suffi : il fallait encore être précis.

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