L’écriture pour mieux appréhender le terrorisme
Plusieurs romans de la rentrée plongent dans la réalité des attentats de Paris

Les écrivains ne vivent pas en dehors de la société. Au contraire, ils en happent la substance pour, souvent, mieux la rendre compréhensible par le lecteur. Déjà Gustave Flaubert s’inspirait d’un fait divers pour sa Madame Bovary, Truman Capote le suivait quasi en direct pour écrire De sang-froid. Aujourd’hui, une suite d’événements comme les attentats terroristes de Paris en 2015, du 7 janvier à Charlie Hebdo à la soirée du 13 novembre au Stade de France, sur diverses terrasses et au Bataclan, ont à ce point ébranlé la société européenne qu’il semble évident que le romancier en soit contaminé. Les événements du 22 mars à Bruxelles devraient, eux aussi, faire bouillonner les écrivains belges.

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