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Rik Vanderberghe, patron d’ING: «Je comprends le choc»

La direction a convoqué les syndicats pour un conseil d’entreprise extraordinaire lundi avant l’ouverture des marchés. Un vaste plan de restructuration international a été annoncé. Dans un entretien accordé au Soir, Rik Vanderberghe, patron d’ING répond aux syndicats.

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Journaliste au service Economie Temps de lecture: 2 min

Dans un entretien accordé au Soir, Rik Vanderberghe, le patron d’ING répond aux syndicats et appelle au dialogue.

Qu’avez-vous envie de dire à votre personnel après cette annonce ?

Que ce plan de transformation – qui entraîne bien sûr d’énormes pertes d’emplois et, croyez-moi, j’ai mal dormi cette nuit – est celui qui garantit l’avenir de la banque. Il est dur de licencier mais nous sommes une entreprise saine et nous nous devons de le rester. ING anticipe aujourd’hui d’une façon globale l’avenir : nous tirerons parti du meilleur des deux mondes. ING Pays-Bas, d’un côté, qui est championne du digital et ING Belgique, d’un autre côté, qui est excellente dans le conseil et le service aux entreprises.

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