Vers un vent d’espoir polonais?

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Chroniqueur

Publié le 8/10/2016 à 17:00 Temps de lecture: 6 min

C’est peu dire que la démocratie va mal, de même que le projet européen, les droits humains, la liberté… bref, tout ce pour quoi la génération de nos parents s’est battue et dont se moque aujourd’hui une nouvelle génération amnésique, adepte du repli identitaire et nationaliste, de la frilosité et de tous les égoïsmes qui ont saigné l’Europe et la planète au cours des derniers siècles. Du coup, quand de bonnes nouvelles arrivent, il faut les mettre en valeur… Même si elles ne sont peut-être que des répits dans une longue et douloureuse agonie, elles portent aussi l’espoir qu’un sursaut est possible, et que ce sursaut viendra des citoyennes (et des citoyens).

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2 Commentaires

Posté par Lavenne Eric, dimanche 9 octobre 2016, 18:12

Mais si le désir de garder cet enfant lui semble primordial ,il est impératif qu'elle soit informée des tous les tenants et aboutissants VRAIS et REELS ;mais en tout état de cause, dans ce cas, encore ici; seule le femme demeure "maître" de la décision finale.

Posté par Lavenne Eric, dimanche 9 octobre 2016, 18:04

Cet article est fort bien conçu. Peu de choses sont à ajouter ,cependant induire sans réfléchir une femme à l'avortement; alors qu'elle désire cet enfant ???Et forcer un thérapeute à le réaliser en toute globalité et pire légiférer en cette matière seraient une catastrophe. La liberté se doit d'être bilatérale. Mais en définitive ,seule la femme et nulle autre personne, doit rester en mesure de prendre cette décision (qui n'est jamais simple pour elle)

Posté par Lavenne Eric, dimanche 9 octobre 2016, 18:12

Mais si le désir de garder cet enfant lui semble primordial ,il est impératif qu'elle soit informée des tous les tenants et aboutissants VRAIS et REELS ;mais en tout état de cause, dans ce cas, encore ici; seule le femme demeure "maître" de la décision finale.
Posté par Lavenne Eric, dimanche 9 octobre 2016, 18:04

Cet article est fort bien conçu. Peu de choses sont à ajouter ,cependant induire sans réfléchir une femme à l'avortement; alors qu'elle désire cet enfant ???Et forcer un thérapeute à le réaliser en toute globalité et pire légiférer en cette matière seraient une catastrophe. La liberté se doit d'être bilatérale. Mais en définitive ,seule la femme et nulle autre personne, doit rester en mesure de prendre cette décision (qui n'est jamais simple pour elle)