Peter Maes: «Je veux qu’on respecte le club que j’entraîne»
Limbourgeois, il a été choisi pour relancer un Genk qu’il a lui-même diagnostiqué en crise identitaire à son arrivée au printemps dernier. Il s’est donné 3 ans pour le ramener au sommet.


Peter Maes le dit lui-même : il travaille toujours sur le long terme. Du reste, sa main à Lokeren, son club précédent, ne s’est pas vue tout de suite. Pour autant, il ne reste pas les bras croisés ni les yeux fermés. Il a déjà rendu envie et collectif à sa nouvelle équipe et le mercato, avec Neeskens Kebano, fort probablement titulaire ce dimanche, et Alejandro « Pozzo » Pozuelo, lui a amené la qualité qu’il revendiquait pour sa formation. Malgré ce 10 sur 18 initial, il sait qu’il reste encore du boulot pour améliorer le jeu du Racing. Ça tombe bien : Peter Maes adore travailler. « Parce que les miracles en football, ça n’existe pas. »

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