Il faut booster et féminiser la formation en ingénieur industriel
Le nombre de jeunes diplômés reste, malgré une légère augmentation, nettement inférieur au nombre de postes vacants. L’Agence qui chapeaute l’enseignement supérieur veut réformer.
Invalid Scald ID.

Le développement économique de la seconde moitié du 19e siècle a peu à peu imposé la présence de nombreux « travailleurs instruits » dans les usines qui se multiplient alors comme des petits pains. Le mouvement a favorisé l’éclosion presque naturelle d’instituts non universitaires chargés de former des « ingénieurs d’application » au bénéfice des bassins industriels (Liège, Hainaut, Sud-Luxembourg) et, évidemment, de la capitale alors en pleine explosion urbanistique. « Il s’agit de former un personnel hautement qualifié pour servir d’intermédiaires capables de seconder les ingénieurs essentiellement préoccupés par la théorie et de diriger les ouvriers totalement immergés dans la pratique », lit-on dans le rapport « Evaluation du cursus Sciences industrielles et de l’ingénieur industriel » (1) produit ces jours-ci par l’Aeqes, l’Agence chargée de jauger l’enseignement supérieur en Belgique francophone.
Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction Le journal en version numérique Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous abonner.
S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
Cela Mlle; cet article ,vous donne une "possibilité" dont vous êtes totalement capables. Mais "attention" à la connaissance de l'anglais comme décrite ci dessus et aussi à l'obligation quasi certaine de disposer d'une sorte de don d'organisation dans votre vie familiale.