Emmanuelle Pirotte: «Ecrire, c’est une manière d’exprimer la peur»
Dans son deuxième roman, « De profundis », Emmanuelle Pirotte mêle anticipation et fantastique et nous offre un très beau récit, prenant et poignant. Qui nous donne la chair de poule et nous émeut à la fois.


On n’a jamais vu Bruxelles de cette façon. Le virus Ebola III a décimé la population, les hôpitaux ne parviennent plus à suivre, l’électricité est coupée, des fous de Dieu s’imposent. La ville est sous la coupe du virus et des ultras. Sortir de sa piaule est dangereux. Roxanne le doit. Pour survivre. Elle deale des médocs, il faut bien qu’elle aille dans la rue. Roxanne est habituée à cette vie où il faut constamment être sur ses gardes. Mais voilà, quand elle est au bord du suicide, son ex-mari meurt et lui laisse Stella, leur fille, dont elle ne s’est jamais occupée ? Une fille étrange mais attachante. Alors Roxanne quitte Bruxelles, gagne la campagne, Saint-Germain, dans une vieille maison de famille. Elle y survit avec Stella. Et avec un fantôme, tout droit sorti de la guerre de Trente Ans, au XVIIe siècle.
Vous accumulez les calamités météorologiques, sanitaires, religieuses.

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