Après l’apocalypse, ça continue encore
Depuis longtemps, les hommes ont fantasmé sur la mort de la Terre et leur fin totale. Sans pouvoir vraiment imaginer le néant. Il y a toujours quelques survivants quelque part. Ne fût-ce que pour raconter l’histoire.
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Après nous, le déluge, disait l’autre. C’est beau, un déluge. Pour tout écrivain, c’est vraiment quelque chose à décrire, la mort de la Terre, par l’eau, le feu, la glace, la bombe, la catastrophe nucléaire, le virus de trop… Et ils ne se sont pas privés. De 1962 à 66, Jim Ballard a même été jusqu’à raconter quatre apocalypses : Le vent de nulle part, Le monde englouti, Sécheresse, La forêt de cristal, le plus beau, le plus poétique, le plus pessimiste : c’est si beau une terre sans l’homme.

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