René Weiler se livre pour la première fois depuis son arrivée en Belgique: «Avec moi, c’est Anderlecht qui fera les vedettes, pas l’inverse»
Arrivé cet été de Nuremberg, René Weiler tranche avec par sa fermeté par rapport à ses deux prédécesseurs, John van den Brom et Besnik Hasi. Lucide sur les lacunes actuelles de son équipe, il plaide pour un minimum de patience… et quelques renforts en janvier.

Les sorties hors conférences de presse ne constituent pas trop son truc. Encore davantage lorsqu’elles s’accompagnent d’une séance photos. Depuis son arrivée à Anderlecht, René Weiler a résumé au strict minimum ses apparitions dans les médias. Aucun plateau télé et pas d’interviews individuelles dans les quotidiens. Juste le minimum syndical les veilles et les jours où son équipe se produit. Un quota légal auquel s’ajoutent bien entendu les obligations contractuelles liées aux faces caméras d’avant et d’après-matches dans le cadre du contrat télé.
C’est dire si les deux heures d’entretien accordées à Sudpresse et au Soir pour la presse quotidienne, en ce milieu de semaine européenne, comptent dans l’agenda d’un entraîneur dévoué corps et âme à son travail de reconstruction d’une équipe qui n’a pas été championne ces deux dernières saisons. L’occasion pour nous de découvrir l’homme qui se cache derrière le technicien. Rencontre.

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