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«Omar m’a tuer»: l’ADN donne un autre nom

Nouveau rebondissement dans l’affaire du jardinier marocain condamné pour le meurtre de sa patronne.

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L’affaire Omar Raddad, du nom d’un jardinier marocain condamné en France pour le meurtre de sa patronne en 1991, connaît un nouveau rebondissement jeudi avec la révélation que l’une des traces ADN relevées sur les scellés pourrait avoir été identifiée.

«Il y a un soupçon d’identité entre une des traces et un enregistrement au fichier national automatisé des empreintes génétiques», où figurent les empreintes de personnes mises en cause ou condamnées dans des affaires pénales, a déclaré le procureur de Nice Jean-Michel Prêtre. «Mais il y a des vérifications qui sont faites, pour l’instant il n’y a rien de certain. Cela doit être confirmé par des analyses en laboratoire», a-t-il ajouté.

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