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Remplacer son conseiller bancaire par un robot

Encore peu connus en Europe, les robots-conseillers sont devenus une réelle alternative outre-Atlantique. En Belgique, les solutions sont de plus en plus nombreuses.

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Journaliste au service Economie Temps de lecture: 6 min

Même s’il est vendeur et certainement plus facile à placer dans un titre qu’« algorithme financier automatisé », le terme de robot-conseiller est sans doute mal choisi. Surtout que ceux qui s’attendaient à voir un robot les accueillir à l’entrée de l’agence bancaire risquent d’être déçus. Quand on parle de robots-conseillers, c’est plutôt à un algorithme ou un ordinateur que l’on a affaire.

« Ce n’est pas un robot qui s’occupe de tout, puisqu’il y a en réalité beaucoup d’intervention humaine », confirme Geoffroy de Schrevel, CEO de Gambit, une solution digitale d’investissement et spin-off de l’Université de Liège. Mais peu importe le nom que porte cette nouvelle façon de voir le conseil en investissement, la gestion de portefeuille entièrement digitale séduit de plus en plus de clients.

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