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Ceta: le «problème wallon» risque de durer

Charles Michel a jusqu’à lundi soir pour dire à Donald Tusk si la Belgique peut signer le Ceta. Le Comité de concertation se réunit ce lundi matin.

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Temps de lecture: 6 min

Ça passe, ou ça casse ? C’est en bref la question que le président du Conseil européen (qui représente les 28 Etats membres) posera ce lundi en fin de journée à Charles Michel : «  La Belgique est-elle prête, oui ou non, à signer ce jeudi l’accord de libre-échange Ceta avec le Canada, dont le Premier ministre est attendu jeudi pour un sommet annoncé de longue date.  » Donald Tusk appellera ensuite Justin Trudeau, le Premier ministre canadien, pour lui communiquer, selon les cas, que l’Union européenne est prête à signer et qu’il est toujours attendu à Bruxelles. Ou pas. Ce qui semble la version la plus probable, vu que la Wallonie ne se voit toujours pas en position, ce dimanche, d’accepter les dernières propositions qui lui ont été adressées le matin par la Commission européenne.

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