Mons: Louabatou a fui la Guinée et le mariage forcé
Un couple souhaite éviter l’expulsion de sa protégée.

Plus que deux jours. Pierre et Myriam Gillis ont jusqu’à ce jeudi 27 octobre pour permettre à Louabatou Diallo, jeune Guinéenne de 21 ans, de rester leur protégée, à Mons. Ils l’hébergent depuis un an chez eux. Candidate réfugiée, elle est illégale dans notre pays. Ce jeudi expire le délai de 10 jours après la notification, par le CGRA Commissariat général aux réfugiés et aux apatrides (CGRA), selon laquelle son dossier de demande de reconnaissance comme réfugiée n’est pas recevable. Son avocat bruxellois cimente son recours à introduire auprès du Conseil du contentieux des étrangers.
« Son argumentation est double, confient Myriam et Pierre Gillis. Un, tous les liens sociaux et affectifs de Lou sont avec nous et nos (grands) enfants. Deux, si elle est rapatriée de force en Guinée, elle y risque la mort. »
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