
La Région bruxelloise est confrontée depuis des années à ce paradoxe : elle est un vivier d’emplois énorme pour les classes moyennes et supérieures flamandes et wallonnes mais n’arrive pas à les convaincre de venir s’y installer. Les navetteurs préféreraient-ils mordre leur volant tous les jours de la semaine plutôt que d’habiter à Bruxelles ?
Didier Gosuin, ministre de l’Economie et de l’Emploi, estime que le problème n’est pas (uniquement) bruxellois. « Bruxelles crée beaucoup d’emplois, plus de 710.000, mais ils s’adressent à un nombre important de Wallons et de Flamands. Il y a une navette entrante importante, de près de 52 % des emplois occupés », relève-t-il. »

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