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«L’Institut national de criminologie sort plus fort de cette attaque»

Deux mois après la destruction de ses laboratoires, l’Institut National de Criminalistique et de Criminologie est à nouveau opérationnel

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Journaliste au service Société Temps de lecture: 3 min

Le 29 août, l’Institut National de Criminalistique et de Criminologie (INCC) était la cible d’une attaque nocturne contre ses installations. Après avoir forcé la clôture avec une voiture-bélier, les auteurs s’étaient introduits dans l’une des ailes du bâtiment et avaient bouté le feu. Le labo ADN avait été fortement endommagé. Celui des microtraces (poils, cheveux, fibres textiles, fragments végétaux…), complètement ravagé. Au final, une centaine de pièces liées à des affaires en cours ont été détruites par les flammes, la fumée ou les trombes d’eau.

Deux mois plus tard, les stigmates de l’attaque sont toujours visibles sur le site bruxellois de l’institut.

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