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Les Pétersbourgeois, entre fascination et perplexité

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Journaliste au service Culture Temps de lecture: 4 min

Les autoportraits de l’artiste attirent tous les regards et les objectifs. © D.R.

Vendredi 21 octobre. Depuis 18 heures, la foule des grands soirs se presse aux portes de l’immense musée de l’Ermitage. Les Pétersbourgeois, pour l’essentiel sur leur 31, se dirigent calmement vers l’aile consacrée à la peinture flamande. Là où Jan Fabre a installé son cirque contemporain, qui se propose de dialoguer avec des œuvres de Rubens, Jordaens, Van Dijck, Brueghel ou Snijders.

Une interprète de l’université de la ville me permet d’entrer en contact avec une vingtaine de visiteurs, qui me livrent leurs premières impressions. Des impressions disparates, laissant souvent la place à une certaine incompréhension, parfois à de la perplexité. Le public semble ici non averti. Et du reste, chacun de mes interlocuteurs le confirme : Jan Fabre ? « Jamais entendu parler. »

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