Article réservé aux abonnésPar Michèle Friche
Temps de lecture: 4 min
On ne l’avait plus vu à la Monnaie depuis la production de John Cox en 1983. Revoici
Capriccio
, un condensé formidable d’intelligence, d’émotion, une de ces mises en scène qui creusent les capillarités de l’œuvre sans en perdre sa substance et nous ouvrent de troublantes perspectives sur une partition que l’on croyait connaître. Ni actualisation abusive ou démonstrative, mais un accord parfait avec la musique et une distribution haut de gamme ! Une merveille ce
Capriccio
, dernier opéra de Richard Strauss, composé en pleine guerre, créé à Munich en 1942, mis en scène par le jeune David Marton et dirigé par Lothar Koenigs au Palais de l’Opéra (1)
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