Jean-Claude Juncker au «Soir»: «Il y a un sérieux problème de gouvernance en Europe»
Nous avions sévèrement critiqué la Commission et son président pour la gestion des affaires Oettinger, Barroso. Jean-Claude Juncker a voulu nous répondre directement. Le président compte prolonger de 18 mois à 3 ans la période d’attente obligatoire des présidents de Commission avant de rejoindre le privé.
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Une fois n’est pas coutume, ce n’est pas nous qui avons sollicité l’entretien. Au lendemain de la publication mercredi d’un dossier consacré au «dérapage» du commissaire Oettinger, et d’un éditorial sévère sur la gestion par Jean-Claude Juncker des problèmes qui touchent à l’image de son institution, c’est le président de la Commission européenne lui-même qui a souhaité nous recevoir. « Parce que je prends très au sérieux les critiques que vous émettez. Je voulais donc parler avec vous de Belgique, de Wallonie, d’Oettinger et de tout le reste. »
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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir3 Commentaires
Bien pour l'exercice et la volonté de répondre aux lecteurs du journal et au travers d'eux à la population. Tout le monde ne le ferait pas. Bien aussi sur l'éclairage belgo-belge du CETA. Je suis convaincu que le Fédéral n'a pas pris la mesure de la position wallonne bien en phase avec le dénigrement dont elle est habituellement l'objet. Pour le reste : Dont acte.
Même pas Caliméro : trois phrases dans les médias, aucune action sur ce dont il a la compétence. Des leçons pur les autres. Mais de remise en question de leurs dogmes et façon de faire : jamais. Les technocrates (et lobbyistes) UE ont encore de beaux jours devant eux. Quand le peuple se réveillera????
Calimero, le retour.