La Chambre adopte la flexibilisation du travail étudiants
La Chambre a approuvé jeudi une modification du plafond annuel en-dessous duquel les étudiants jobistes peuvent travailler moyennant le paiement de cotisations sociales réduites. Au-delà du plafond, des cotisations sociales sont dues au taux normal.
Dans un souci de flexibilité, ce plafond est dorénavant calculé en heures de travail prestées et plus en jours. On prendra en compte 475 heures de travail et non plus 50 jours (400 heures ou 50 journées de huit heures). La majorité justifie la réforme par la volonté d’introduire une plus grande souplesse, pour l’employeur et pour l’étudiant. Actuellement, si un étudiant preste 4 heures, on lui compte une journée. Or, l’étudiant est souvent appelé durant des pics de travail, par exemple de trois heures. A l’avenir, seules ces trois heures compteront dans le calcul du plafond.

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