Un lanceur d’alerte pour les ados cyberharcelés
Selon une vaste enquête menée à Mons, un ado sur trois a été victime plus ou moins gravement de messages dégradants ou humiliants à travers les réseaux sociaux. Une application pour smartphone sera bientôt disponible pour aider les jeunes à se manifester ou pour pousser les témoins à agir.


Le cyberharcèlement en milieu scolaire est un mal de ce début de siècle numérisé. Le phénomène se développe sur les réseaux sociaux, parfois jusqu’à des issues dramatiques qui laissent sans voix les adultes, parents comme enseignants. En Fédération Wallonie-Bruxelles, la prévention s’organise au départ de Mons. En quête de réponses à apporter à des citoyens déboussolés, l’échevin et député wallon Nicolas Martin (PS) est à l’origine d’un projet pilote qui prendra une forme concrète dès l’an prochain : une application pour smartphone à la disposition des élèves. Elle servira de véritable lanceur d’alerte pour les jeunes victimes ou les témoins de comportements anormaux. Nom de code : CyberHelp.

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
Quand va-t-on poursuivre en justice, une bonne fois pour toute, les sociétés qui hébergent et transmettent les messages de harcèlement, de racisme et autres débilités. Ces réseaux dits sociaux sont le plus souvent des réseaux de business exploitant le niaiserie principalement des jeunes.