Critique
«Mon héroïne»: pretty woman

Une comédie française familiale à l’américaine.
Une comédie française familiale à l’américaine.
Elu meilleur film de tous les temps par la prestigieuse revue Sight and Sound du British Film Institute, devant Hitchcock ( Sueurs froides ), Orson Welles ( Citizen Kane ), Ozu ( Voyage à Tokyo ) et Renoir ( La règle du jeu ), le chef-d’œuvre de Chantal Akerman revient timidement mais sûrement dans quelques salles du pays.
Bonheur que de retrouver les personnages nés de l’imaginaire tendre et délicat de l’auteur-illustratrice Gabrielle Vincent, dix ans après leur première aventure sur grand écran.