Katell Quillévéré, jeune réalisatrice: «Pour réussir une adaptation, il faut trahir»
Katell Quillévéré se distingue avec « Réparer les vivants », adaptation du best-seller éponyme de Maylis de Kerangal. Une jeune réalisatrice prometteuse qui souffle un vent frais sur le cinéma français.

À 36 ans, Katell Quillévéré fait partie de la jeune génération de réalisatrices qui bouscule le cinéma français. Après les remarqués Un poison violent et Suzanne, elle signe une brillante et lumineuse adaptation de Réparer les vivants, best-seller de Maylis de Kerangal. Un film que la réalisatrice voit comme « une expérience de soi ». « J’espère que les spectateurs pourront regarder et écouter leur cœur de manière différente. Le pari du film était de l’explorer sous toutes ses dimensions. C’est un film sur le don de soi plus que sur le don d’organe. Qui pense aux liens entre les êtres. »

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.
Vous n’avez pas de compte ? Créez-le gratuitement ci-dessous :
S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir0 Commentaire