Les Grecs votent, apparemment peu nombreux, pour fermer ou non la parenthèse Syriza
Les Grecs votaient dimanche, apparemment moins nombreux qu’en janvier, lors de législatives anticipées qui pourraient ramener Syriza au pouvoir après le pari de la démission du Premier ministre sortant Alexis Tsipras, ou refermer au contraire cette première parenthèse de gauche radicale en Europe.
L’abstention semblait nettement plus importante que lors des dernières législatives de janvier, selon les témoignages de journalistes et d’électeurs. «A ce rythme, nous allons vers la plus basse participation jamais enregistrée», commentait sur twitter l’analyste grec Yanis Koutsomitis.
«Deux heures avant la fermeture, les bureaux de vote à Athènes sont pratiquement déserts. Désillusion massive des électeurs», faisait écho un tweet d’un consultant économique, Jens Bastian. Aucun chiffre officiel n’avait été publié une heure avant la clôture des bureaux à 16H00 GMT.
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