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Aider le proche retarde l’entrée en institution

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Journaliste au service Société Temps de lecture: 4 min

L ’effet du groupe est étonnant. Les proches qui s’occupent de patients atteint d’Alzheimer subissent souvent des mécanismes d’isolement, car la famille ou les amis ne comprennent pas ce qui arrive au malade, sont effrayés ou redoutent de blesser. Ici, au contraire, ils rencontrent des gens qui sont confrontés à des situations très proches de celles auxquelles ils sont confrontés. »

Céline Duhoux est infirmière et coordonne le projet dit de « protocole 3 » de l’association Arémis, en collaboration avec l’hôpital Erasme (ULB) et Alzheimer Belgique. Un projet-pilote financé par l’Inami avec l’espoir que la formation psychosociale dispensée soutienne mieux les « aidants », ce qui permet de prolonger la durée pendant laquelle le patient peut rester chez lui, retardant l’entrée inéluctable en institution.

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