Baby Fire Gold

« Fume, c’est du belge », comme dirait quelqu’un de bien connu de nos services ! Trois albums en bientôt six ans : Baby Fire, le trio de Bruxelloises, est des plus réguliers malgré les changements de line-up survenus à chaque fois autour de Dominique Van Cappellen-Waldock, alias Diabolita.
Produit par Pierre Vervloesem (dEUS, Madensuyu…), Gold ressemble à un trip post-punk en onze tableaux qui peut faire courir de sérieux frissons sur l’échine. A l’écoute, par exemple, de ce « Brussels » (« la ville aux ongles sales ») oppressant et presque lugubre. Ce « Tiger heart » un peu Savages. Ou ce (trop) court « Salamander », blues new wave à combustion lente. Quand elles parlent d’amour, c’est sous tension. Et le don de soi se fait au sens le plus organique du terme (lover et liver rimant ainsi sur Lovers).

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