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L’Amérique poétique selon Jim Jarmusch

Le cinéma Galeries entame ce jeudi 24 novembre une rétrospective et une exposition consacrées au réalisateur de « Dead Man ». « Paterson », présenté au dernier Festival de Cannes, sera projeté ce mercredi en avant-première avant de sortir dans toutes les salles belges ce 7 décembre. Parallèlement à tout cela, le commissaire de l’exposition, Philippe Azoury, publie « Jim Jarmusch, une autre allure ».

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Journaliste au service Culture Temps de lecture: 4 min

Non content de (re)découvrir l’intégralité de la filmographie de Jim Jarmusch, y compris ses documentaires musicaux comme Year of the horse (consacré au groupe de Neil Young) et Gimme Danger (sur les Stooges d’Iggy Pop), le fan de celui que Philippe Azoury présente à juste titre comme « Un grand artiste contemporain américain » aura toutes les raisons de se réjouir de l’exposition intitulée « Une autre allure ». Pour le commissaire de l’exposition, Jarmusch est avant tout synonyme d’indépendance. « Mais ce n’est pas une indépendance aveugle », modère celui dont la vie a basculé à l’âge de 11 ans à l’écoute de Miami, l’album du Gun Club. « Le cinéma de Jarmusch, c’est celui de Ozu ou de Jacques Rivette. Ou de la Beat Generation avec une quasi morale de photographe à la Robert Frank.

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