«42nd Street» triomphe au Châtelet, la comédie musicale a le vent en poupe
« 42nd Street » clôt avec un sacré panache l’ère Choplin au Châtelet. En 10 ans, ce théâtre est devenu la scène de référence d’Europe continentale pour la comédie musicale. Désormais, le genre enflamme Paris… avec des appétits divers.

Révélation des chefs des chefs-d’œuvre méconnus de Sondheim, confirmation de grands tubes comme The sound of music ou My Fair Lady, adaptation à la scène de films chantés (Singin’in the rain, le fabuleux An American in Paris qui triomphe depuis bientôt trois ans à Broadway et, aujourd’hui un enthousiasmant 42nd Street) : le parcours est prestigieux et sa réussite exemplaire. Elle s’inscrit dans la descendance des productions à grand spectacle qui ont marqué l’histoire du théâtre.
La réussite est de taille car jamais la comédie musicale, ce genre si typiquement anglo-saxon qui associe au plus haut niveau d’efficacité le chant, le théâtre et la danse, n’avait su s’imposer en dehors du Royaume-Uni, l’ORW de Jean-Louis Grinda constituant une brillante exception à la règle, malgré des moyens réduits.

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