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Le Maroc n’a toujours pas de gouvernement

Le Premier ministre sortant, l’islamiste modéré Abdelilah Benkirane, a été reconduit à son poste mais il peine à trouver une majorité parlementaire. A travers l’obstructionnisme menée par un milliardaire et son parti se profile l’ombre d’un roi soucieux de préserver toute son influence au sein de l’exécutif.

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Journaliste au service Monde Temps de lecture: 3 min

Depuis les élections législatives du 7 octobre dernier, le Maroc n’a toujours pas de nouveau gouvernement. Un cas rare dans un pays où le poids du palais a toujours été prépondérant. Justement, ne serait-ce pas la volonté du roi d’imposer la composition de la majorité gouvernementale qui fonderait le blocage politique actuel? Poser la question, c’est y répondre.

Rappelons les résultats du 7 octobre : le PJD (islamiste modéré) conserve la place de premier parti (125 sièges sur 395), devant le PAM (parti créé par un ami personnel du roi), 102 sièges. Les autres formations se partagent les restes : Istiqlal (46), RNI (37), MP (27), USFP (20), UC (19), PPS (12), etc. Un éparpillement des sièges typique de la « démocratie » à la marocaine.

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