Bruxelles sans voiture? Le rêve inaccessible
La capitale peine à diminuer le nombre de voitures sur son territoire. C’est principalement dû au morcellement des compétences entre niveaux de pouvoir.


Philippe Geluck (Le Chat), Roger Vanden Stock (RSCA), Muriel Bernard (EFarmz)… Vous avez été nombreux, dans notre supplément « 500 idées » à souhaiter une réduction de la pression automobile à Bruxelles. Une utopie ?
Avant toute chose, précisons que le nombre de voitures roulant à la capitale a tendance à diminuer : selon les comptages de Bruxelles Mobilité, il a baissé de 7,4 % entre 2003 et 2012. La baisse la plus spectaculaire concerne les petites voiries, car les communes ont pris beaucoup de mesures de dissuasion du trafic de transit pour préserver leurs quartiers (zones 30, boucles de circulation…). Malgré cela, la congestion automobile reste bien réelle, surtout sur les grands axes, car l’espace de la voirie consacré à l’auto a globalement tendance à rétrécir (– 3 % en 10 ans, entre 2005 et 2014).

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.
Vous n’avez pas de compte ? Créez-le gratuitement ci-dessous :
S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir2 Commentaires
La commune de Jette - département mobilité - a déroulé un véritable tapis rouge aux flamands pour l'accès à Bruxelles via l'axe Joseph De Heyn / JJ Crocq. Tous les parkings sont payants à Jette sauf ceux proches de ces 2 axes et le parking de la gare également !
La solution est pourtant tellement simple.... un péage de 15 € par jour pour rentrer et sortir de Bruxelles. Résultat garanti !