L’ombre du crime
Patrick Roegiers répond aux critiques de Jean-Baptiste Baronian. Il estime ne pas avoir de leçon de littérature ni d’écriture à recevoir et se défend d’avoir écrit un portrait à charge de Georges Simenon. Carte blanche

Cet article imbécile et de mauvaise foi, aussi mal écrit que longuement mûri, est instrumentalisé par John Simenon (l’ayant droit et second fils de Georges Simenon) qui tente en vain, depuis quelque temps et par tous les moyens, de mettre des bâtons dans les roues de mon livre, n’hésitant pas à faire des pressions sur les personnes, les journalistes ou les organisations qui m’accueillent. Je n’ai aucune raison de justifier quoi que ce soit ni de polémiquer avec le président des amis de Simenon qui a le droit de s’exprimer comme il veut et comme il le peut. Mais je veux bien répondre comme je le fais partout, sur les ondes ou en public, dans la presse, en France ou en Belgique, à des questions que mon roman pose concernant le rapport de la réalité et de la fiction, le droit inaliénable de la création, le rapport des deux frères, le rexisme, la Collaboration, la tuerie de Courcelles et tout ce qu’on veut. Mais je n’ai pas de leçons de littérature pas plus que d’écriture à recevoir de J.B.
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