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Des collectes de protections hygiéniques

Trop souvent ignorées, les femmes de la rue sont confrontées à un problème spécifique qui reste tabou : les règles.

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Journaliste au service Société Temps de lecture: 1 min

On l’oublie trop souvent mais des femmes aussi vivent dans la rue. Outre le souci de manger à leur faim et de se laver, elles sont aussi confrontées à un problème plus intime et toujours tabou : les règles. Pour leur venir en aide, Veronica et Valérie, deux Bruxelloises viennent de lancer Bruzelle, un collectif qui collecte des protections hygiéniques pour les redistribuer aux femmes précarisées.

« J’ai un jour pris une claque en voyant une femme sans-abri qui ne se sentait pas bien dans le métro, explique Veronica. Je lui ai proposé de l’aide et elle m’a dit qu’elle n’était pas bien à cause de ses règles. Et je n’avais pas de protection à lui offrir. J’étais persuadée qu’elle en recevait auprès des services sociaux mais elle m’a dit qu’elle devait les payer. Je me suis dit qu’il fallait faire quelque chose. Tout le monde pense que des choses existent mais rien n’est prévu. »

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