Des fanatiques du Standard, interdits de déplacement par Venanzi: «C’est une manœuvre pour obtenir le gain des trois points»
Cinq fanatiques du Standard, appartenant au « Hell Side » ou à des clubs officiels, parlent avec leurs tripes. Les incidents à Charleroi et la position du président Venanzi les conduisent dans une impasse. Dont ils veulent sortir. Par le dialogue, de préférence.

Ils sont les anciens du « Hell Side », l’un des noyaux durs des fanatiques du Standard. Ils forment désormais ce qu’ils appellent la « Vieille Garde ». Ils ne correspondent pas au cliché : pas de tatouage apparent, pas de piercing, pas d’agressivité. « Man », « Mich », « Vicente », Alain et Kathy ont entre 40 et 54 ans. Tous ont une famille et un job. Généralement hostiles à la presse, ils ont accepté notre invitation. Pas par courtoisie. Mais par nécessité : ils veulent adresser leur courroux au président du Standard, un club qu’ils chérissent depuis plus de 30 saisons, parfois 40 pour certains. « Dans sa lettre aux supporters », publiée mardi dans nos colonnes, « Bruno Venanzi reproche aux supporters présents à Charleroi de n’être pas intervenus pour empêcher quelques-uns de lancer les briquets et les fumigènes sur la pelouse. C’est un appel à la délation insupportable
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