Au-delà des fantasmes, l’Opus Dei sur le déclin
« L’Œuvre de Dieu » se cherche un nouveau chef. Au-delà des fantasmes, l’institution est plutôt en perte de vitesse. En Belgique, son influence n’a jamais été fulgurante…


Opus Dei. Prononcez ce nom et, immédiatement, les images du Da Vinci Code s’imposeront dans l’esprit de votre interlocuteur. Ordre obscur, secte secrète, luttes de pouvoir et complots : les imaginaires s’enflamment. C’est pourtant à une réalité bien plus terre à terre qu’est confrontée aujourd’hui l’institution catholique : le décès de Mgr Echaevarria, le chef de l’ordre, le 12 décembre dernier, implique de lui désigner un successeur. Un processus d’élection interne commence donc, sans enjeux importants néanmoins. Nul doute que les quelques milliers de prêtres qui dirigent l’Opus Dei trouveront un profil dans la droite ligne de l’Institution et de son fondateur, Josemaria Escriva de Balaguer.

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