Une nouvelle, mais si imprévisible année 2017
Malgré les modèles économiques ou la théorie des probabilités, il est très difficile de prévoir certains phénomènes.


Pendant la période de Nouvel An, on me demande souvent de faire des prévisions pour l’année à venir. Que feront les marchés boursiers ? Est-ce que le prix du pétrole continuera à augmenter ? Que se passera-t-il avec le chômage ? Le gouvernement belge pourra-t-il échapper à une sanction européenne parce qu’il ne réussira pas à réduire le déficit budgétaire ? Et ainsi de suite…
Je dois admettre que je n’ai aucune réponse à ces questions. Mais ceux qui m’interrogent insistent très souvent. Pour eux, l’essence de l’économie est de donner des réponses à ces questions concernant l’avenir. Mes interlocuteurs sont généralement incrédules quand j’essaie de les convaincre que l’économiste ne peut faire de meilleures prévisions que l’homme de la rue.

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.
Vous n’avez pas de compte ? Créez-le gratuitement ci-dessous :
S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
Selon le rédacteur en chef de Trends-Tendances seulement 17% des prévisions des économistes se sont révélées exactes. Je comprends la prudence de l'auteur de cet article.