Après Publifin, les partis doivent s’attaquer à eux-mêmes plutôt qu’au PTB
Visez l’intercommunale Publifin – et ses « comités de secteurs » enrichissant leurs membres de 1.340 à 2.871 euros/mois, qu’ils participent aux réunions ou non. On pensait que les scandales carolos porteraient les présidents de parti à faire le ménage.
Ouvrez grand les fenêtres. Respirez profondément. Humez l’air. Que sentez-vous ?
Le froid ?
L’hiver ?
Les microparticules ?
Non. Cela sent la campagne électorale. Déjà ? Oui, déjà. Les prochaines communales ont lieu en octobre 2018. Les prochaines législatives/régionales sont annoncées pour le printemps 2019. Et donc, oui, déjà, doucement, mine de rien, les partis entrent en campagne. Ils méditent leurs stratégies. Ils échafaudent leurs listes (ci et là, de premiers polls ont déjà eu lieu).
Et ils paniquent, aussi.
« Déchet du XXe siècle »
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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir2 Commentaires
Excellente conclusion que celle de M. Bouillon. Les pratiques qui subsistent me font penser à une citation d'A. Einstein "On ne résout pas les problèmes avec les modes de pensée qui les ont engendrés."
Il est très remarquable que ces "pratiques dérangeantes" à répétition sur tant d'années NE concernent PAS tous les partis : pas le PTB/PVDA, pas ECOLO/AGALEV, pas la NVA, pas le FDF/DEFI. Il y a-t-il un rapport entre un programme politique très clivant et une certaine éthique politique ? Ou bien, pour certains, le fait de rechercher sans cesse le consensus et de participer au pouvoir rend-t-il plus enclin à avoir du miel au bouts des doigts ??