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L’allocation universelle, une idée qui agite… et divise

Toucher un revenu, sans devoir travailler ni avoir cotisé, n’est-ce pas la porte ouverte à « une société de l’assistanat et du farniente », selon la formule de l’ancien Premier ministre français, Manuel Valls ?

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Nombreux la nomment « allocation universelle », mais d’autres préfèrent « revenu de base », « dividende universel » ou « revenu de citoyenneté. » Une telle variété de noms trahirait-elle une idée un peu floue ?

Ce serait méconnaître la rigueur intellectuelle de l’un de ses principaux promoteurs, Philippe Van Parijs, le patron de la Chaire d’éthique économique et sociale de l’UCL.

Voici comment il définit l’allocation universelle : un revenu versé par une communauté politique à tous ses membres, sur une base individuelle, sans contrôle des ressources ni exigence de contrepartie.

Philippe Van Parijs, formé à l’école de la philosophie analytique américaine, aime les concepts clairement définis. Autrement dit : chaque mot compte.

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