La nouvelle fresque de Bruxelles s’inspire très probablement de la Bible
Aucune décision n’a pour l’instant été prise entre les autorités et le propriétaire de la maison quant à son maintien.

Après les fresques du pénis, de la pénétration sexuelle et de l’anus, c’est une fresque morbide qui est apparue récemment sur un mur de Bruxelles. Située au bord du Canal, à quelques pas de la Porte de Flandre, elle représente un homme qui tente d’égorger un autre. Plusieurs personnes y voient une référence directe à un détail de la peinture « Le sacrifice d’Isaac » du Caravage. Dans cette peinture, un ange empêche Abraham de sacrifier son fils unique, Isaac.
Le sacrifice d’Isaac représente comment Dieu a mis Abraham à l’épreuve sur son dévouement envers lui. Dans cette peinture, Isaac veut sacrifier son fils car Dieu lui a demandé de l’égorger pour prouver sa foi. Dans la Génèse, l’ange arrête Abraham par ces mots : « N’avance pas ta main sur l’enfant, et ne lui fais rien ; car je sais maintenant que tu crains Dieu, et que tu ne m’as pas refusé ton fils, ton unique. » L’ange réussit donc à arrêter ce sacrifice.

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
Un plagiat, donc. De l'art, vraiment ?