Un premier face-à-face à Astana entre combattants syriens
Le régime syrien et les combattants rebelles entament lundi au Kazakhstan leurs premières négociations directes depuis le début de la guerre en Syrie. Ces pourparlers s’annoncent plus militaires que politiques. Le gouvernement syrien et les rebelles non-djihadistes vont avant tout s’efforcer de renforcer le fragile cessez-le-feu instauré le 30 décembre.


Astana. Ce nom exotique – la capitale du Kazakhstan, Etat proche de la Russie dans tous les sens du terme – passera-t-il dans la postérité comme le tournant politique décisif dans l’insoluble conflit syrien ? Rien n’est moins sûr. Mais, en tout cas, ce 23 janvier s’y ouvriront dans l’après-midi les premiers pourparlers entre combattants syriens, entre donc le régime de Bachar el-Assad et quelques-uns des représentants des groupes armés présents sur le terrain, et non plus l’opposition politique exilée, comme jusqu’ici dans les précédentes tentatives de dialogue.

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