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Le confinement est compliqué pour les éleveurs d’autruches

A Sorinnes, près de Dinant, Réginald Michiels craint de perdre une grande partie de ses 180 autruches s’il doit les confiner. Ce fut le cas voici dix ans.

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Journaliste au service Société Temps de lecture: 2 min

Le ministre de l’Agriculture Willy Borsus a précisé ce jeudi que les mesures de confinement s’appliquent aussi désormais aux deux éleveurs d’autruches que compte la Belgique, près de Dinant et de Rochefort. « Les autruches sont des animaux qui, comme les autres volailles, peuvent être contaminés par le virus et le transmettre à d’autres élevages », commente le ministre. Le confinement était déjà obligatoire depuis novembre pour les éleveurs professionnels, mais les éleveurs d’autruches bénéficiaient jusqu’ici d’une exception. Ce n’est donc plus le cas.

« Pour l’instant, j’ai 180 bêtes, commente Réginald Michiels, éleveur à l’autrucherie de Saint-Amour, à Sorinnes. Pour avoir de la qualité, mes autruches passent leur vie à l’extérieur. Ce sont des animaux que l’on peut comparer à des athlètes de haut niveau. Si on les enferme pendant plusieurs jours, quand on les relance les tendons et les muscles sont bloqués. Elles vont se blesser et mourir. »

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