Grippe H5N8: le secteur avicole redoute une crise
Le confinement des volatiles suite à la découverte d’un cas de grippe aviaire va faire mal aux éleveurs. Grands ou petits, ils auront des pertes.


Dans son vaste jardin de Braine-le-Château, Guillaume Cremers déambule de volière en volière. Du haut de ses 80 ans, il élève des poules depuis toujours. « On le fait depuis plusieurs générations, dit-il fièrement. D’ailleurs, mon petit-fils s’y intéresse aussi. Nous avons tous décroché plusieurs titres de champions de Belgique. Mon dernier remonte à quelques semaines, à Bastogne, avec un Fauve de Mehaigne. Une race qui avait disparu et que j’ai relancée avec trois autres éleveurs. » Parmi les autres fiertés du passionné figurent aussi des spécimens de Coucou de Malines ou des Barbus d’Anvers caille. « Je ne fais que dans les espèces naines », précise l’homme qui possède actuellement une trentaine de volatiles adultes.

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